Aller, je remets le couteau dans la plaie, mais c'est impossible de laisser passer ça sans rien dire. Ce matin, en allant tout droit en direction la fac, à gauche, puis à droite, puis tout droit, puis encore à gauche, puis j'suis perdue, puis comme par égarement, j'me retrouve à la plage.
Et je vois toutes ces mouettes. Et comme par hasard. Ca m'fait penser aux pigeons. C'est quasiment la même chose. Ca tourne autour de la tête, ça piaille, et parfois, quand ça survole, ça prends des allures dangeureuses. Surtout si vous sentez qu'il pleut. Faîtes attention. C'est p't'être pas d'la pluie.
Je m'égare, je m'égare...
Je m'égare, je m'égare...
C't'histoire de prime ne peut me toucher personellement, puisque je ne suis pas concernée. Mais. Mais quand même. C'est une sacrée injustice. Pis elle touche mes copains. Pis j'aime pas quand mes copains ils sont tristes, au point de se prendre pour ces bestioles qui tournent et qui tournent et qui ... CHUT. Cette image, je ne l'aime pas. J'aime pas l'image du pigeon, parce que :
- A par em.....er les passants, ils ne font rien de bien interessants ces pigeons
- Ils passent leur temps à piailler, hululer, tout ce que vous voulez.
- Pis c'est pas très classe, un pigeon.
C'est pas ça un CPE. On ne doit pas le prendre pour ça. Ce qui m'emête le plus, dans cette histoire, c'est qu'on ne peut rien faire. A part être mécontents. Même pas notre mot à dire. Parce que sinon c'est l'image des fonctionnaires qui va encore en prendre un coup.
Et voilà. Ils sont pris pour des pigeons. Mais... ils ne sont pas des pigeons! Et ça, ça m'agace. Et comme par hasard, ils n'ont pas leur mot à dire.
"J'ai beau regardé à deux fois, jla voit pas tant qu'ça, la sécurité d'l'emploi..." - Fatals picards
Et voilà. Ils sont pris pour des pigeons. Mais... ils ne sont pas des pigeons! Et ça, ça m'agace. Et comme par hasard, ils n'ont pas leur mot à dire.
"J'ai beau regardé à deux fois, jla voit pas tant qu'ça, la sécurité d'l'emploi..." - Fatals picards
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